Des masques, on en voit partout aujourd’hui. Je parle des masques portés devant le nez et la bouche, bien entendu. Ce masque que j’ai tendance à oublier en partant de la maison. Ces masques qui déshumanisent un peu notre société. Ma série de masques de torse parle plutôt de la question « être ou paraître? ». Un coté qui montre notre surface, un autre coté qui exprime notre intérieur. La série a commencé avec « Némésis, de la juste colère » qui montre un coté très doux et exprime avec les papiers froissés tout un autre sentiment. Le masque « Ananké, déesse de l’inévitable » clos cette série. Avec ses plumes et la poésie elle est toute prête à s’envoler. 9 exemplaires sont encore disponibles aujourd’hui. Regardez le diaporama pour faire connaissance avec eux. Et dites-moi ce que vous en pensez.